8 janvier 2008
du grain à moudre
Chaque fois que l'on parle, c'est donner du grain à moudre (que l'on écrit, aussi.) C'est donc quelque chose qui vaille (pour compléter ce que je disais dans l'article précédent). Cela ne présage pas de la façon de moudre. Le grain c'est la parole, il faut l'extraire des épis, ou mieux : qu'elle tombe quand elle est à maturité. Mais si elle ne mûrit jamais ? et si elle est trop abondante ? si elle tombe n'importe où ? etc.
Il y a bien tous les cas de figure de toutes les récoltes, de toutes les famines.
A quoi sert donc ma métaphore ?
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