25 avril 2010
tu as écrit
Tu as parlé de toi.
Et maintenant j'écoute une belle musique, comme une pluie qui tombe, comme une neige qui glisse et mes pensées se disséminent dans les tableaux qui m'entourent, dans l'air d'une nuit solaire fenêtres ouvertes.
Une autre musique en est entrée, coule en fruits dans les bouches des dieux de jazz. La musique est chantante comme un langage.
Je te prête les clés de la taverne et celles du théâtre en plein air et celles du temps pour en disposer. Ici tout s'éparpille, s'époumone pour des fleurs, pour des rêves, des pensées. Grand château tout ouvert les soirs d'été.
Il n'y a pas de rapport bien sûr avec ta lettre qui est arrivée dans un beau coffre capitonné de velours bleu et de satin parsemé d'or au parfum d'écume de mer.
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