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sentiers en cours
18 septembre 2009

rêve

Je suis désemparé d'avoir trop rêvé. Parfois le gros de la vie se réfugie dans les rêves.
Lorsque je navigue à la surface, évitant les écueils, surfant sur la mer profonde, la nuit je réintègre mon immensité.
Tous les jours nous sommes tous à la pêche aux autres des profondeurs.
A la pêche ou à la chasse, à la cueillette ou à la quête, ou à l'attente.
Comme le petit enfant vous happe dans ses grands yeux.

claudinetissierOn lui a mis un joli collier, une jolie robe, un joli nœud.
On l'a attrapée dans la photo, elle aussi, avec son rêve.

Photo extraite du blog Celestissima
à la page Rosemala, dans la forêt.

mes remerciements à Céleste.

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Commentaires
K
Je n'ai pas voulu mettre de métissage en relief. Ce rêve dont je parle est, je crois, commun à tous les humains. Il consiste à intégrer le monde qui nous entoure à notre propre monde intérieur.
F
Le métissage il est simple tu le mets en relief toi-même avec photo, maintenant à nous d’aller plus loin dans la note, expliques nous son rêve, j’avoue de ne pas saisir ta réponse antérieure, à celle que je réponds ici spontanément visiblement devant en être désemparer.
K
Je dois dire, cher Ferber, que je ne comprends pas grand chose à ce carnaval du métissage des idées...
F
Visage rêvé, facette du dé, tête d’ange remodelé et façonné, sculptures pour les magazines qui calquent l’évasion de vos envies, entre impur et pur le facial du visage se pouponne. Si nous pensions seulement l’étrange rêve que chacun mange à sa fin dans ce carnaval du métissage des inégalités.
F
Je rêve toujours comme la petite fille.<br /> La réalité est longue et difficile.
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